Le livre « Partir à l’aventure de la complexité »
Mon livre débute par l’examen de cette exclamation « Je ne comprends pas … » souvent prononcée face à la complexité.
Comment éviter qu’elle constitue une impasse.
Peut-elle être le point de départ d’un cheminement vers la compréhension certes relative mais forgée par une pensée autonome intégrant des connaissances mais aussi des doutes voire des contradictions.
La pensée prend alors conscience et développe ce qu’elle n’a jamais cessé d’être : une aventure.
Le livre propose des principes organisateurs qui suggèrent au lecteur de partir à l’aventure de la pensée autonome. Il l’invite à cheminer dans la biosphère avec nos aïeuls et cousins, à découvrir la complexité de la société et de l’humain actuel et à oser un monde plus désirable pour demain.
Le livre est publié aux éditions L’Harmattan.
Le livre « Vivre est dangereux … mais c’est tellement beau »
Homo Complexus a su mobiliser sa faculté de penser et de créer, elle lui a permis de s’affranchir des dures réalités de son milieu et d’organiser la cohabitation avec ses semblables. Mais un regard lucide sur notre civilisation ne peut que nous interpeller.
Si l’inquiétant écocide et les violences sociétales révèlent qu’il y a urgence à agir, l’humain doit d’abord lever l’hypothèque de la peur afin de redonner à son esprit sa liberté de penser. Comment faire face aux discours et aux informations qui l’alertent sans cesse de nouveaux dangers ?
Le livre est publié aux éditions le Lys Bleu.
Pourquoi HOMO COMPLEXUS ?
L’humain est au carrefour de trois univers (la biosphère, la noosphère et la société) il n’est plus seulement Homo Sapiens mais aussi homo demens, également « œconomicus » et « ludens », « faber » et « mythologicus » …
Comment Homo Sapiens est-il devenu un animal qui ne se veut plus être animal, voir la vidéo
Pour contrer la complexité, l’espèce humaine a souvent pris le parti de l’illusion et de la simplification appauvrissante. La Vie est née dans la complexité de la « soupe primitive » au fond des océans il y a près de 3,8 milliards d’années. La complexité a toujours accompagné son évolution et est encore présente. Pour comprendre l’Humain et vivre en société, il faut oser affronter la complexité, nier la complexité c’est tourner le dos à la vie.
Dans l’homme, l’éthique de la connaissance sait voir l’animal, non pas absurde mais étrange, précieux par son étrangeté même, l’être qui, appartenant simultanément à deux règnes : la biosphère et le royaume des idées, est à la fois torturé et enrichi par ce dualisme déchirant qui s’exprime dans l’art et la poésie comme dans l’amour humain.
Jacques Monod dans le Hasard et la nécessité
Auteur : @ Guy MICHEL